Mes TAKHEDMIT et GABORIT avaient fait le déplacement à deux à NIORT pour défendre l’accusé aux assises de NIORT.
Malgré nombres de zones d’ombre, un alibi à l’heure du braquage et un témoin-clé faisant volte-face à l’audience, la Cour d’assises à considéré que l’ADN de l’accusé retrouvé à proximité des lieux du braquage – mélangé à d’autres ADN – suffisait à tout balayer.
6 ans au lieu des 8 prononcés en première instance.
Voir les articles de la Nouvelle République 86 qui a couvert ce procès en appel :